L’accès à la justice consistait auparavant en un atelier en personne d’une demi-journée destiné aux avocat.e.s, aux technicien.ne.s juridiques et aux travailleur.se.s de soutien œuvrant dans le milieu de l’aide juridique. La série de webémissions qui suit est une adaptation du champ d’application original dans le but de se conformer aux exigences de sécurité et aux meilleures pratiques durant la pandémie de COVID-19. Pour rester à jour quant à notre programmation juridique, abonnez-vous à notre service de notification par courriel ci-dessous.

Comment promouvoir un milieu de travail inclusif et maximiser de façon stratégique les effets positifs pour les personnes LGBTQI2S dans le système juridique?

Regardez nos webémissions mettant en vedette des expert.e.s de partout au Canada qui partagent les meilleures pratiques et les défis liés au service de la clientèle LGBTQI2S. Nos conférencier.ères.s invité.e.s partagent leur expérience acquise dans les dispensaires d’aide juridique financés par le gouvernement provincial, les tribunaux et les organismes communautaires de première ligne. Les discussions porteront sur une variété de sujets pour identifier les concepts, les obstacles et les structures qui perpétuent la marginalisation des personnes LGBTQI2S. Vous avez une question que vous souhaitez voir abordée? Soumettez-la ci-dessous et nous nous efforcerons d’inclure votre requête à un prochain épisode.

Assurez-vous de consulter notre guide sur la pratique de l’aide juridique inclusive pour vous aider à mieux servir la clientèle LGBTQI2S.

Programmation des épisodes

25 février : L’homophobie et la transphobie dans le droit et dans la culture juridique (épisode accrédité par le Barreau de l’Ontario)

4 mars : Approches pratiques à des services juridiques centrés sur la clientèle et informés sur les traumatismes (épisode accrédité par le Barreau de l’Ontario)

11 mars : Enjeux juridiques communs chez la clientèle LGBTQI2S

18 mars : L’importance de l’identification chez la clientèle trans

25 mars : Le futur des lois relatives aux personnes queer et trans

1er avril : Questions juridiques et stratégies pour améliorer l’accès à la justice pour les francophones LGBTQI2S

À qui s’adressent ces épisodes?

  • Au personnel des dispensaires d’aide juridique, incluant :
  • Les avocat.e.s
    • Les technicien.ne.s juridiques
    • Les travailleur.se.s juridiques communautaires
    • Les étudiant.e.s en droit
    • Les étudiant.e.s en travail social
    • Le personnel administratif
  • Les avocat.e.s du secteur privé qui travaillent avec les certificats d’aide juridique
  • Les travailleur.se.s de première ligne qui sont partenaires avec les dispensaires d’aide juridique

Épisodes

Épisode 1: 25 février L’homophobie et la transphobie dans le droit et dans la culture juridique

Joignez-vous à nous pour le premier épisode de notre série « L’accès à la justice ». Sont invité.e.s en tant que panélistes à ce premier épisode, accrédité par le Barreau de l’Ontario, Hema Krueger Vyas, Florence Ashley, Marc-Alain Mallet et Amber Chisholm, qui discuteront de l’homophobie et de la transphobie dans le droit et dans la culture juridique. Première le jeudi 25 février à 13 h (HNE).

Épisode 2 : 4 mars Approches pratiques à des services juridiques centrés sur la clientèle et informés sur les traumatismes

Épisode 3 : 11 mars Enjeux juridiques communs chez la clientèle LGBTQI2S

Bientôt disponible avec sous-titres français

Épisode 4 : 18 mars  L’importance de l’identification chez la clientèle trans

Bientôt disponible avec sous-titres français

Épisode 5 : 25 mars Le futur des lois relatives aux personnes queer et trans

Bientôt disponible avec sous-titres français

Épisode 6 : 1er avril Questions juridiques et stratégies pour améliorer l’accès à la justice pour les francophones LGBTQI2S

Évaluation portant sur l’accès à la justice

Biographies des panélistes

1er avril : Questions juridiques et stratégies pour améliorer l’accès à la justice pour les francophones LGBTQI2S

Karine-Myrgianie Jean-François

Grâce à sa formation juridique, Karine-Myrgianie (elle/elle) a travaillé, pendant plus de 10 ans, dans le secteur communautaire auprès d’organismes féministes et orientés sur les jeunes. Née à Tiohtià:ke, cette femme queer noire soutient les communautés minoritaires dans leur libération. Elle est actuellement la directrice des opérations et des projets pour le Réseau d’action des femmes handicapées du Canada (RAFH Canada). Cette éternelle optimiste croit au pouvoir des communautés et sait que nous, les personnes qui sont toujours mises en marge, avons le pouvoir de changer notre monde!

Nora Butler Burke

Nora Butler Burke (elle/elle) est une éducatrice, défenseure et chercheuse communautaire établie à Montréal. Son travail est axé sur l’obtention de soutien pour les personnes trans criminalisées, particulièrement les travailleur.se.s du sexe et les immigrant.e.s. Nora travaille actuellement avec l’équipe de première ligne d’ASTT(e)Q, un projet communautaire dirigé par la communauté trans et destinée à la communauté trans, dans le but de fournir un accompagnement, une éducation et des renseignements entourant les enjeux juridiques et administratifs auxquels font face les personnes trans. Sa recherche a examiné le rôle punitif des régimes d’immigration et criminel canadiens dans la vie des travailleur.se.s du sexe trans immigrant.e.s.

Anaïs Zeledon Montenegro

Anaïs Zeledon Montenegro (elle/elle) est une travailleuse communautaire pour ASTTeQ (Action santé travesti(e)s et transsexuel(le)s du Québec), un projet de CACTUS Montréal. ASTTeQ est un organisme dirigé par des personnes trans et destiné aux personnes trans, qui fournit du soutien aux communautés trans et les défend à travers Montréal. Sa priorité est de soutenir les travailleur.se.s du sexe, les immigrant.e.s et les personnes trans à faible revenu. Au cours des 20 dernières années, Anaïs a travaillé et a fait du bénévolat pour plusieurs organismes communautaires dans le quartier Centre-Sud de Montréal. Elle a une vaste expérience de travail auprès des groupes communautaires et des mouvements sociaux de lutte contre la pauvreté, et pour les personnes ayant un handicap, les travailleur.se.s du sexe et les personnes LGBTQ+.

25 mars : Le futur des lois relatives aux personnes queer et trans

Meenkashi Mannoe

Meenakshi (elle/elle) s’est établie, depuis 2006, sur les territoires non cédés des peuples Musqueam, Squamish, et Tsleil-Waututh. Cette relation qu’elle entretient avec les nations hôtes et les peuples autochtones à travers le soi-disant Canada exige une responsabilisation et une remise en question du travail et de la praxis de la justice sociale. Dans le cadre de ses fonctions pour Pivot, Meenakshi travaille avec ses collègues interdisciplinaires pour concevoir des solutions intersectionnelles aux préjudices causés par le maintien de l’ordre et la criminalisation. Elle apprécie l’engagement sans compromis de Pivot envers l’expertise et la vision des personnes ayant une expérience vécue. Meenakshi a obtenu son diplôme de la faculté de travail social de l’Université de la Colombie-Britannique (maîtrise en service social, 2019) et est une travailleuse sociale autorisée. Elle est actuellement membre du conseil pour la Community Radio Education Society, programmeuse à la radio communautaire de Vancouver (Stark Raven) et membre du Vancouver Prison Justice Day Committee.

Tuma Young

Tuma Young, c.r., est un L’nu de la Première Nation Malagawatch, et sa bande est la Première Nation Eskasoni. Tuma est l’époux de Nicolaas Honig et habite à Sidney River, où il enseigne les études micmaques à l’Université du Cap-Breton. Tuma est le premier avocat L’nuwisit (qui parle couramment le micmac) ayant été appelé au barreau en Nouvelle-Écosse (2001) et le président entrant de la Nova Scotia Barristers’ Society pour 2021-2022.

Wesley Crichlow

Le Dr Wesley Crichlow (Ph. D., Université de Toronto, 1998) est un érudit en théorie critique de la race et enseignant à l’Université Ontario Tech (depuis 2003) possédant plus de 20 ans d’expérience en mobilisation et développement communautaires. Les cadres théoriques suivants sont à la base de ma mission professorale : (a) la théorie critique de la race, laquelle nous rappelle que le racisme et le racisme envers les personnes noires sont permanents; (b) une analyse raciale critique du racisme envers les personnes noires employant la théorie critique de la race, pour démontrer pourquoi la race et le racisme importent pour favoriser un changement structurel et systémique; et (c) l’intersectionnalité, un principe de la théorie critique de la race, pour aborder non seulement les intersections de la race et du genre, mais aussi les questions reconstituantes, convergentes et multiformes, en nous rappelant qu’il n’existe pas de lutte à enjeu unique, car nous ne vivons pas des vies à enjeu unique (Lorde, 1984)

18 mars : L’importance de l’identification chez la clientèle trans

Sarina Sarraf

En tant que membre d’équipe du Positive Space Network, Sarina (elle/elleui) est responsable de l’accomplissement de tâches uniques mettant l’accent sur l’engagement des membres de la communauté et des différents organismes partenaires, le soutien apporté aux jeunes et le renforcement des capacités communautaires. Sarina y parvient en promouvant et en créant des ressources accessibles, et en connectant les organismes de soutien existants à Halton. Grâce à cela, Sarina tente d’aller chercher de nouveaux.elles conférencier.ère.s invité.e.s, d’animer des ateliers et d’organiser des séminaires. Sarina aime avoir l’occasion d’échanger avec de nouvelles personnes, de rire en bonne compagnie et de partager de bons repas!

Terry Riche

Terry Riche (il/lui) est un étudiant de troisième année à la faculté de droit de l’Université du Nouveau-Brunswick. Cette année, il est également co-coordinateur de la Imprint-PBSC Trans ID Clinic. Ses intérêts comprennent l’accès à la justice dans les communautés éloignées, la réforme législative et le droit en matière de droits de la personne. Dans ses temps libres, il aime faire de la randonnée et jouer à Pokémon Go.

Ash Arsenault

Ash Arsenault (il/lui) est un étudiant de deuxième année à la faculté de droit de l’Université du Nouveau-Brunswick. Il en est également à sa deuxième année de bénévolat à la Trans ID Clinic. Étant lui-même un homme trans, il est passionné par l’éducation et l’activisme transgenres, et est dévoué à redonner à la communauté auprès de laquelle il a bénéficié d’énormément de soutien et de force. Lorsqu’il n’est pas en train d’étudier, on peut le voir courir, jouer de la musique ou jouer à des jeux de société avec sa famille choisie.

Delaney Stymiest-Losier

Originaire de Quispamsis, au Nouveau-Brunswick, Delaney Stymiest-Losier (elle/elle) est une étudiante de troisième année à la faculté de droit de l’Université du Nouveau-Brunswick. Notre communauté est plus forte lorsque tout le monde a accès de façon égale à la justice, et Delaney est enthousiaste à l’idée d’avoir l’occasion d’aider de quelque manière que ce soit. Delaney adore l’escalade, écouter des balados, dessiner, et la plupart des activités intellectuelles.

Frank Nasca

Frank Nasca (iel/elleui) est um étudianx en droit queer et transgenre à l’Osgoode Hall Law School. Iel occupait auparavant un poste dans le secteur non lucratif, mais a décidé d’entamer des études en droit, avec un objectif vaguement défini qui consiste à promouvoir la justice pour les personnes marginalisées par la loi. Après un semestre et demi en droit, iel peut dire avec certitude qu’il existe plusieurs enjeux créés par la loi, mais iel essaie toujours de déterminer comment iel peut consacrer sa carrière à traiter ces enjeux. Travailler avec Positive Space Network et Étudiant(e)s pro bono du Canada a été une excellente manière d’utiliser sa formation juridique pour soutenir la communauté trans.

Tara Chandran

Tara Chandran (elle/elle) est une étudiante de deuxième année en droit à l’Osgoode Hall Law School. Elle oriente son éducation vers une carrière dans le domaine du droit en matière de droits de la personne. Elle a fait du bénévolat et a travaillé au sein de plusieurs organisations de justice sociale et communautaires à Montréal, à Thunder Bay et à Toronto. Elle espère continuer à défendre la justice sociale par l’entremise de sa carrière et à mettre à profit sa formation juridique pour militer pour des droits de la personne égaux pour tou.te.s.

11 mars : Enjeux juridiques communs chez la clientèle LGBTQI2S

Laurelle Harris

Laurelle Harris (elle, elle) est une avocate en exercice à Winnipeg et à travers le Manitoba depuis 18 ans, principalement dans le domaine du droit familial. Laurelle a entrepris une éducation continue juridique poussée. Outre son diplôme universitaire de premier cycle et son diplôme en droit, Laurelle a reçu une formation générale à la médiation et est titulaire d’un certificat en médiation familiale de l’Université de York. Celui-ci permet d’appliquer les principes de la médiation générale en se spécialisant plus spécifiquement dans les compétences de médiation requises dans le contexte juridique familial. Laurelle a aussi entrepris des études universitaires de deuxième cycle dans les programmes d’études afro-américaines et féminines. Outre sa pratique juridique, Laurelle travaille aussi en tant que chargée de cours à la Faculté de droit de l’Université du Manitoba, où elle enseigne le droit familial et le droit des genres.

Audrey Huntley

Audrey Huntley (elle/elle) est cinéaste et cofondatrice du réseau No More Silence basé à Toronto. Le groupe s’emploie à honorer les FFT2EADA et à soutenir les efforts de la communauté pour mettre fin à la violence, et pour la mise en valeur et la défense des terres tout en revendiquant la souveraineté. Dans son emploi quotidien, elle est technicienne juridique pour le droit des victimes au Aboriginal Legal Services. Elle habite à Toronto avec son chien de refuge, Kimei.

Adrienne Smith

Adrienne Smith (iel/iel) est um activiste transgenre des droits de la personne et um avocas de la justice sociale. Iel a récemment réglé un procès auprès de la Cour suprême de la Colombie-Britannique (BC Supreme Court) qui garantissait l’accès aux traitements de substitution aux opiacés à l’intention des prisonnier.ère.s des pénitenciers de Colombie-Britannique. Adrienne a fait apparition à la Cour d’appel de la Colombie-Britannique (BC Court of Appeal) et à la Cour suprême du Canada, où iel a plaidé les effets délétères des peines minimales obligatoires pour les femmes, les autochtones et les consommateur.trice.s de drogue. En tant qu’activiste syndicalx, iel prône l’inclusion des personnes transgenres dans nos syndicats et nos milieux de travail. Adrienne se porte volontaire à la Catherine White Holman Wellness Clinic, où iel donne des conseils juridiques gratuits, s’occupe de cas portant sur les droits de la personne, et légalise des documents de changement de nom pour les personnes trans.

4 mars : Approches pratiques à des services juridiques centrés sur la clientèle et informés sur les traumatismes

Aruna Boodram

Aruna Boodram (elle/elleui) est technicienne juridique et travailleuse juridique communautaire pratiquant à la South Asian Legal Clinic of Ontario (SALCO). Elle travaille à la SALCO depuis 2013, sur de multiples projets visant la communauté 2SLGBTQ et les victimes de violence domestique et de mariage forcé ou non consensuel. Dans la dernière décennie, Aruna a été active dans des causes comme la souveraineté autochtone, la solidarité avec la Palestine, la justice carcérale, et les mouvements abolitionniste et anti-raciste. Elle est aussi DJ communautaire et parent queer autonome d’um formidable enfant d’un an.

Ruby Dhand

Ruby Dhand (elle/elle), B.A., M.A., LL.B., LL.M., Ph.D., est professeure agrégée à la Faculté de droit de l’Université Thompson Rivers (TRU). Ruby a travaillé en tant qu’avocate des droits de la personne se spécialisant dans le droit des personnes handicapées et de la santé mentale. Elle a géré le développement et l’implantation de la TRU Community Legal Clinic, le premier programme d’aide juridique de la faculté. Ses domaines de recherche sont le droit de la santé mentale (civil et judiciaire), le droit de la personne, le droit de la santé, le droit des personnes handicapées, l’accès à la justice, l’incidence de la race, de la culture, de l’ethnicité et d’autres facteurs intersectionnels sur la loi, l’éducation à l’aide judiciaire, et le droit au service de la communauté. À la Faculté de droit de l’Université Thompson Rivers, elle enseigne le droit de la santé mentale, le droit de la santé, le droit de la personne, l’éducation à l’aide judiciaire et le droit au service de la communauté.

Myrna McCallum

Myrna McCallum (elle/elle) est une avocate autochtone et hôte du balado « The Trauma-Informed Lawyer » (L’avocat.e informé.e quant aux traumatismes). En 2020, le Ministère fédéral de la justice lui a décerné le tout premier Prix d’excellence pour les juristes en soutien aux victimes d’actes criminels.

25 février : L’homophobie et la transphobie dans le droit et dans la culture juridique

Hema Vyas

Hema Krueger Vyas est une éducatrice de Gujarati queer basée à Winnipeg qui est passionnée par l’éducation à la santé et par la création d’espaces plus sûrs pour des communautés plus en santé. Hema est co-directrice de Red Tent, un organisme qui assure l’éducation en matière d’anti-oppression, de réponse aux crises et d’espaces physiques plus sûrs pour les festivals, les événements et les organisations. Au cours de la dernière décennie, elle a travaillé comme éducatrice en santé partout au Manitoba pour éduquer la jeunesse sur des sujets tels que la santé sexuelle, la consommation de drogues, la santé mentale et l’anti-oppression. Hema est présentement la conseillère en droits de la personne et en violence sexuelle de l’Université de Winnipeg. Elle fait partie du conseil de la clinique de santé féminine comme présidente du comité de responsabilité en matière d’équité et d’inclusion. Elle est aussi membre de l’équipe consultative PANDC du Camp Aurora.

Florence Ashley

Florence Ashley est une juriste et bioéthicienne transféminine qui poursuit des études doctorales à la Faculté de droit et Centre conjoint de bioéthique de l’Université de Toronto. Ille a publié de nombreux articles en droit et bioéthique sur les problèmes auxquels font face les personnes trans, dans les journaux tels que le University of Toronto Law Journal, La Revue Canadienne Droit et Société, le Journal of Medical Ethics, et le American Journal of Medicine. Avant ses études doctorale, Florence fut la première auxiliaire juridique ouvertement transféminine à la Cour suprême du Canada, dans le cabinet de la juge Sheilah Martin

Marc-Alain Mallet

Marc-Alain est un cadre chevronné avec plus de 30 ans d’expérience en gestion de programmes dans les secteurs publics provinciaux et fédéraux. « L’essentiel de ma carrière fut en communication, en éducation et en développement économique, mais tous ces rôles ont eu une chose en commun : les relations. » Marc-Alain est un passionné de la création d’organisations saines, inclusives et novatrices pour le mieux-être du Nouveau-Brunswick.

Amber Chisholm

Amber Chisholm est une avocate queer travaillant à Fredericton, au Nouveau-Brunswick, pour le Service public d’éducation et d’information juridiques du Nouveau‑Brunswick (SPEIJ-NB), un organisme provincial à but non lucratif qui informe les Néo-Brunswickois.e.s de la loi et de leurs recours et obligations légaux. Elle travaille sur divers projets du SPEIJ-NB et exploite sa Ligne d’information sans frais sur le droit de la famille. En dehors des heures de travail, Amber prend part au théâtre de la communauté locale, s’adonne à la création d’art visuel, et se porte volontaire auprès de divers organismes et initiatives à but non lucratif. Elle est notamment membre fondatrice du conseil d’Imprint Youth Association pour la jeunesse et les jeunes adultes LGBTQIA+.

Un service d’aide juridique inclusif : servir la clientèle LGBTQI2S intersectionelle

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